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I and I

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La Quête

La seconde

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L'archive

Le mot

Un gentleman c'est quelqu'un qui sait jouer de la cornemuse et qui n'en joue pas.
 Pierre Desproges

27 février 2007 2 27 /02 /février /2007 15:36

Une conférence de presse le 27 février sur « Campus Plein Sud » au Cercle des voyageurs de Bruxelles. Quoi de plus approprié pour la cinquième édition consacrée aux Migrations internationales ?

Un bar cosy, aux couleurs du monde, nous accueille pour cette conférence de presse qui retrace le programme et le sens de cet évènement. Les deux animateurs de la conférence, Stéphane Wanufel, porte parole de l’IHECS (Institut des Hautes Etudes en Communications Sociales) et Rita Rixen, responsable du Comité Directoire CPS prennent tour à tour la parole pour rappeler la philosophie de cet évènement.

« Campus Plein Sud » est un projet de sensibilisation et d’éducation au développement initié en octobre 2002 par la plupart des universités francophones de Belgique et plusieurs ONG actives en leur sein.  Il a deux principaux objectifs :

- Informer la communauté universitaire des réalités du Sud et des interdépendances Nord-Sud afin qu'elle puisse s'investir dans la construction d'une société plus solidaire.

- Tisser des liens plus étroits entre les universités, les partenaires et les autres acteurs de la solidarité Nord-Sud (ONG, collectivités locales, organismes régionaux, syndicats, associations culturelles...)

Migrer, c’est humain  

2007 marque un tournant dans le sens où non seulement l’évènement intègre l’IHECS dans son organisation, mais aussi il se concrétise en invitant à signer une pétition afin que la Belgique ratifie la Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants.

Une fois le décor général planté, Stéphane Wanufel donne la parole aux différents représentants des universités et Haute Ecole concernée, ceux-ci présentent leur programme pour la semaine du 5 au 9 mars. Moments phares :

- L’IHECS organise une rencontre avec des sans-papiers, un parcours de sensibilisation à la problématique des réfugiés dans les bâtiments de l’Ihecs (intégration de différents médias et du thème de la fuite des cerveaux), mais aussi des films, des débats, des expositions, un souper marocain, un concert et de la danse.

- Saint-Louis propose un débat contradictoire sur l’immigration choisie afin de savoir si elle constitue un nouveau problème ou une solution.

- Gambloux fait la part belle aux matchs d’improvisation tout comme l’UMH

- Liège veut étudier les nouvelles formes de migration avec notamment un séminaire réflexion.

- Mons donne une conférence sur la vie professionnelles des étudiants étrangers après leurs études (échec ou réussite ?).

- FUCAM propose des tables rondes où se rencontrent des jeunes venus du Sud pour étudier au Nord et inversement.

 

Il ne reste plus qu’à faire son choix dans cette quantité d’événements intéressants et certainement enrichissants. La conférence de presse s’est terminée par un brunch convivial, avec des jus de fruit et du vin estampillés « Commerce équitable » : il ne faut jamais rater une occasion de montrer l’exemple !

Infos: http://campuspleinsud.org/

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15 janvier 2007 1 15 /01 /janvier /2007 14:35

IMG-4662.jpgQu'ont en commun CAE, CE, CSC et JE ? Des sociétés anonymes qui projettent de fusionner dans un avenir proche à la Bourse de Bruxelles ? Quatre nouvelles normes européennes issues de la législation REACH ? Les ramifications du plus grand syndicat européen, miné par des luttes intestines ?

 Et bien détrompez-vous, il s'agit des différents DESS préparés à l'IHECS. Quatre groupes d'étudiants, qui se croisent depuis septembre sans prendre le temps de se rencontrer. Alors que faire pour remédier à ce mal bien contemporain ? Trouver un magicien et lui faire sortir de son chapeau à malices une jolie soirée.

Ce magicien, nous l'avons cherché en vain pendant quelques mois, puis il est soudainement apparu, en la personne de Stéphane Wanufel. Tout le monde n'a pas l'âme d'un organisateur de soirée hors pair, prêt à prendre une soixantaine d?étudiants de différentes formations, et à les malaxer pour obtenir une mixture colorée, festive et bruyante.

 

Travailleur de l'ombre, le maître de cérémonie a sacrifié ses vacances à préparer des quiz cinéma, actualités, langues, célébrités, musique surannée, ainsi que des séances de mime réservées à nos chers coordinateurs. Alors lundi 8 décembre rendez-vous pris, 18h30 pour les délégués, qui effectuent les derniers préparatifs dans la salle fumeur de la cafétéria. Septante-huit chaises, vingt-trois tables et un magnifique décor rouge plus tard, tout est prêt pour accueillir l'ensemble des étudiants et des coordinateurs.

Après une répartition métissée des équipes et une explication en bonne et due forme des règles du jeu (et oui c'était un jeu !), la soirée a donc pu commencer. A ce moment là, Stéphane pensait encore avoir une once de contrôle sur ses ouailles. Que nenni ! Le cyclone IHECS était lancé et plus rien ne semblait en mesure de l'arrêter. Donnez-lui du people, vous obtiendrez des décibels jusque là jamais atteints par l'homme (ou plutôt la femme?). Faites mimer une chèvre à Pierre De Greef, vous aurez un moment d'anthologie.

 

La soirée a atteint son apogée lors du quiz IHECS, le mystère du string léopard a enfin été résolu. Son propriétaire masculin a été démasqué et ainsi l'honneur de l'école est sauf. Grand moment également quand, à propos de l'affaire Clearstream, Jean Lemaître, tel Don Quichotte dans la Mancha, s'est insurgé contre les moulins du blanchiment à la française.

 Car tout le monde s'est pris au jeu. Si vous n'aviez pas l'ouïe fine, alors impossible pour vous d'entendre les questions posées par Stéphane. Gardant tout son sang froid, ce dernier, appuyé par Valérie, essayait tant bien que mal de rappeler la règle fondamentale du jeu « Il faut donner le numéro de l'équipe avant la réponse ». Quel idéaliste ! La seule règle en vigueur consiste à crier plus fort que son voisin, tout en tendant l'oreille du côté de son équipe, quand vous n'aviez pas la réponse. Pierre de Villers semblait se décomposer sur place, lui qui a l'oreille si sensible.

Vous l'aurez compris, la soirée, qui était à la base organisée, s'est vite transformée en joyeuse anarchie, chacun à siroter, discuter, réfléchir puis hurler à gorge déployée.

 La magie a pris, et même si le réflexe était d'aller voir ses camarades habituels, pour savoir si le père Noël avait été généreux, on a vraiment découvert de nouvelles têtes et certains sont même allés (quelle bravoure !) jusqu'à poursuivre la soirée en petits groupes inter-DESS. On a ri comme des bossus, beaucoup se sont réveillés sans voix mais avec la gueule de bois.

 

Il faut donc rendre à Stéphane, ce qui est à Stéphane. Merci môsieur d'avoir donné l'opportunité de se rencontrer à tout ce petit monde qui se croisait sans s'arrêter. Bravo d'avoir tenu le coup face à cette horde d'étudiants en transe. Un petit pont de bois est donc établi, il ne tient qu'à nous de le consolider, même si la fin des cours approche pour la plupart des étudiants. Merci à Sophie Henrard d'avoir immortalisé cette soirée d'anthologie. On espère qu'un tel événement ne restera pas sans suite. Il aura au moins permis de révéler l'âme de l'Institut des Hautes Envolées en Cris Sauvages.

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